25 juillet 2007 3 25 /07 /juillet /2007 20:59

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25 juillet 2007 3 25 /07 /juillet /2007 19:52

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25 juillet 2007 3 25 /07 /juillet /2007 19:41

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24 juillet 2007 2 24 /07 /juillet /2007 20:43

(1907-1966)

 

 

 

 

Portrait by RTA

émission Fréquence Musique de Canal Algérie

 

Mohamed iguerbouchen, Compilation instrumentale, Best of

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15 juillet 2007 7 15 /07 /juillet /2007 19:34
  1. Slimane Azem (1918-1983), né à Agouni Ghueghrane, dcd à Moissac, France
  2.  éditions Pathé
  • Algérie mon beau pays
  • Ahadda neth yenni
  • A yuliw
  • ay  addheggwal
  • aha tagitarti
  • Addounith aka ithsedou
  • Afgha ya djrad
  • Alouaqt aghaddar
  • Am korkor boumedhoun
  • Amka akka
  • amek aranili sousta (1962)
  • Annagh aya aboudh
  • A yuliw thouv
  • Ayafroukh ifireles (1960)
  • Azguer yakel egmas
  • a si muh u mhend a wik id yerran
  • Baba ghayou
  • Barakayi tissit nechrav
  • Da Meziane
  • Debza w dmagh
  • Elfoui dhi ibaouen
  • Ezzoukh del mechmel (1958)
  • istikhbar Dhaghriv (1960)
  • idhrimen (1963)
  • ikfa lamane
  • ittawi ddnub i y iris
  • i dhaghred ouagour
  • Ketch dhel mir (1962)
  • Mekouloua fekes el karis (1958)
  • Madame encore a boire
  • Malti dama techfam
  • Qarn rbaatach
  • Rabbi adhagh yaafou (1958)
  • Rabbi el moudebbar
  • Salliou fenbi mohamed (1960)
  • tura jerbegh kullechi
  • Taskurt
  • Taqbaylit
  • Wid idjbed leklem
  • Yao atezrem
  • Zhar dhi china

 

 

 

  • en duo avec Fatma zahra - khem akoudnek (1962)
  • en duo avec Bahia Farah - attass i sevragh (1960)

en duo avec Chikh Noureddine Meziane

  • Anebdu
  • Eboudhane sagour
  • Ayen zrigh di targit
  • el Hem Bourgaz
  • A th'ayaw ouliw y arfa
  • Fellakh Yewdjev
  • Argaz Thatcha Th'founasth - Vou chwit
  • Izem Itchath Wewthoul
  • Aattar
  • l'interview- addouda à Paris - Allo Barbes
  • Amghar tsamgharth
  • Lehdur gemma-k
  • Chega  and l'qayedh (1981)
  • La Carte de Résidence

 

 

  • Makhlouf (1981)
  • Deux Emigrés 1979
  • Rebbi irrahmene
  • Dhachou arasthinidh
  • Tenteq-d tagha
  • Douara
  • Thamgharth akoudh wemchiche
  • Di Ramdane
  • Youssaid lefker
  • El Varkouk, (1979)
  • Zhar i aawjen


 

idir et ses amis chantent Slimane Azem
sfahmiyi Mme encore à boire
Netsrouh Netsoughel
Slimane Azem, Best of, chansons à succès, Chants berbèresSlimane Azem, Best of, chansons à succès, Chants berbères
Slimane Azem, Best of, chansons à succès, Chants berbèresSlimane Azem, Best of, chansons à succès, Chants berbères

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7 juillet 2007 6 07 /07 /juillet /2007 11:30

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17 juin 2007 7 17 /06 /juin /2007 16:16

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8 juin 2007 5 08 /06 /juin /2007 18:01

éditions Pathé

Abqa Ala Xir Ay'Akvu
 (1960)
Aydhriminou
 (1959)
Menhou yidhaan Ach hal aatsvagh
Ahlili ahlili Mlayun ttetru Ach hal uzelagh Attas kan a voniya
Noussed n nghenni Achu aradinigh Avavz n tmerla Ouyinogh ouyitslagh
Adinigh assah A yelli Ruh Djit Ahayir Guazene
A yigh Sarseiwalnime Allah Allah ya rabbi Azwaw
Sbar a yul iw Ahassad Darques Southachvouh
Ah yess el had Debarth feli Saad el hadjadj Ah ya samra
Dhe rabi ouech (1959) Siwlas i ourida Al djil n toura (1959) Diri iyi
Sniwa di ifendjalen Aka assyehwa El Amaria Ssellah
Al ward iffires El Aouama Ssut wartiran Anzor el wali
Essough Arouigh Tawaghit Aqlagh n ttajeb illoul waqchich
Tekhdadiyi Aqlagh nussad ithvir Wilane Dhighourva
Assuth erdif (1959) Laraq lahseb Wallar A tamgharth
Laayun a tir Win yeghran Atsend madh L Dzayer
Youssad adhtrouh Athislit ayesli Mabrouk Fellem Zine laqvayel
Awi yeqqlen d bahri Mabrouk l Farh Aya zarzor Marhva yeswan

*

Duos avec Hanifa

Mabrouk al farh A zine arqaq a yemma yemma iyi gan aman

Duos

& Kamel Hamadi - Cqaniyi Meden Ma Nan &Si Mahmoud Wazza - Chant religieux & Baâziz - Yelsad Tachachit

La chanteuse N’Chrifa, de son vrai nom Ouardia Ouchemlal adulée pour sa voix simple et ses chansons du terroir, est décédée jeudi dernier dans  son domicile à Itha Halla, dans la commune d’El-Maien, au nord de Bordj Bou Arréridj a-t-on appris vendredi auprès de sa famille.

 

Née le 9 janvier 1926 dans le village de Aït Halla de la commune d’Ilmaien dans la wilaya de Bordj Bou Arréridj, elle avait commencé sa carrière de chanteuse à l’âge de 16 ans en quittant la demeure familiale pour Alger. Elle commence très jeune avec des reprises de chansons, avant d'interpréter ses propres chansons sur des airs de montagne. Dans les années 1940, elle chante à la radio et s’impose rapidement comme la maîtresse du chant kabyle.

 

Les poèmes et les mélodies qu’elle a composés se comptent par centaines et sont régulièrement repris.  Avec plus de 1 000 productions N’Chérifa s’inspirait de ses souffrances pour écrire et composer ses chansons dont Abka Wala khir Ay Akbou, Aya Zerzour, Azwaw  (réarrangée et interprétée par Idir) et Sniwa d’ifendjalen figurent parmi les pièces de référence de la chanteuse traditionnelle, très reprises par les artistes et que le public affectionne depuis des années.

 

N’Chérifa était  aussi célèbre, pour ses préludes (Achouiq) et des chants d’amour (Ahiha). L’artiste avant de quitter ce monde, plus précisément la semaine passée, du 7 au 11 mars, elle s’est rendue au village de Seddouk Oufella, où elle a été l’invitée d’honneur de cette action culturelle à l’occasion de la Journée de la femme.

 

Elle s’est rendue au tombeau du père spirituel de la révolution d’El Mokrani, Cheikh Belhahad. Elle a même interprété quelques-unes de ses chansons. Pour rappel, la wilaya de Bordj Bou Arréridj en collaboration avec des jeunes de l’association Azel ont réussi en 2008 à ramener N’Chrifa à son village natale après 65 ans d’exil volontaire. Elle sera enterrée aujourd’hui  le 14 03 2014 à 11h00 dans son village natale à El Maein. «Abka ala khir ya N’Chrifa».

 

autre biographie de Cherifa drapeau dzNa Chérifa

 

La grande dame de la chanson kabyle, Nna Cherifa, est décédée, jeudi 13 Mars 2014 à l’âge de 88 ans. Elle lègue aux nouvelles générations un riche patrimoine musical.

Des champs d’oliviers de son petit village kabyle accroché aux contreforts des Biban, jusqu’au Zénith de Paris où elle se produit devant des milliers d’admirateurs, tel est le fabuleux parcours d’une petite orpheline qui va forcer le destin et devenir une icône, un porte-drapeau, un symbole pour toutes les femmes de son pays.

Nna Cherifa, de son vrai nom Ourida Bouchemlal, est née un 9 janvier 1926, à Ith Halla, commune d’Ilmayen, au sein de cette grande tribu des Ath Ouarthirane. Orpheline de mère, sa biographie officielle raconte qu’elle est placée sous la tutelle de ses oncles quand son père se remarie. Toute petite déjà, on dit qu’elle adorait chanter quand elle gardait les brebis, pieds nus, chichement vêtue comme toutes les petites filles de son âge et de son village. Seulement voilà, dans cette Kabylie qui émerge à peine du Moyen-Age,  l’acte de chanter est proscrit pour les femmes et les filles. Chanter est tabou. Et son oncle se chargera de le lui rappeler à coups de bâton à chaque fois qu’il la surprend en train de faire des vocalises avec cette voix d’ange, seul vrai cadeau que la nature lui ait fait. D’ailleurs, la légende raconte qu’à sa naissance, elle n’a pas crié comme tous les bébés. C’est une belle note de musique qui est sortie du frêle petit corps. En dépit des corrections mémorables qu’elle reçoit de son oncle qui veut la guérir de cette honteuse maladie de chanter, la petite Ourida ne rate jamais un «ourar». L’ourar, ce sont ces fêtes de mariage ou de circoncision où les femmes se rassemblent pour chanter des chants traditionnels en tapant des mains et en battant sur un bendir.
Elle chante à ravir les anges, compose avec bonheur des couplets et de belles ritournelles et invente des mélodies qui ne s’oublient guère.


Bqa ala khir ayaqvou (Adieu Akbou)


Pour composer son répertoire, elle puise également dans le patrimoine culturel de la région, cette inépuisable mémoire collective si riche de chants ancestraux et d’achewiqs qui viennent du fonds des âges. Evidemment, sa réputation ne fait que grandir et on la demande partout pour animer des fêtes. Son cercle d’admiratrices grandit, car les fêtes en Kabylie, c’est une affaire de femmes, les hommes ayant pour eux idheballen, ces tambourinaires dont les rythmes font entrer en transe ceux qui les entendent. A l’âge donc où les autres femmes se marient, font des enfants et enterrent définitivement leurs rêves d’enfant, Ourida Bouchemlal traverse la Soummam et s’installe à Akbou, la petite ville la plus proche de son village. Elle veut vivre de son art et pour cela, elle doit quitter sa province et s’installer à Alger, où elle compte intégrer la radio. Quand ? Elle s’en souvient vaguement. «Cette fameuse année où l’Allemagne nous a envahis», répond-elle un jour à un journaliste qui l’interrogeait à ce sujet. C’est dans le train qui l’emmène vers cette lointaine, mystérieuse et grande ville qui s’appelle Alger qu’elle compose cette fameuse chanson Bqa ala khir ayaqvou (Adieu Akbou), qui deviendra quelque temps plus tard son premier grand succès et un classique du genre que tout le monde fredonne aujourd’hui encore. C’est donc en 1942 que Ourida Bouchemlal, qui prendra pour nom d’artiste Cherifa, fera son entrée à Radio kabyle, comme on l’appelait encore à cette époque. Elle sera l’un des pionnières de ce média qui allait changer les mœurs et les mentalités en introduisant le chant et la musique au cœur même des foyers kabyles. Cherifa est admise au sein de la troupe féminine de la radio où officie en maître un certain Cheikh Nordine, lui-même chanteur et touche-à-tout de génie.

A cette époque, on considère encore que les femmes qui chantent publiquement ont des mœurs dissolues. Elles sont très souvent proscrites par la société et reniées par les familles. Ce sont des pestiférées, des marginalisées qui n’évoluent que dans des milieux artistiques fermés. Cherifa chante à la radio pour des petits cachets qui lui permettent à peine de survivre. Autour d’elle gravite un cercle de chanteuses, dont certaines comme El Djida, Nouara et Ounissa deviendront célèbres. Avec sa petite troupe, Cherifa va sillonner le pays et se produire partout. Cependant, la reconnaissance de son talent et son apport à la chanson kabyle ne viendront que très tardivement. Ses œuvres n’étant pas déclarées à l’Office des droits d’auteur, elle ne touchera donc pas de royalties sur ses compostions. d'Autres s’empressent de la reprendre sans même la citer, demander son avis ou la remercier. Dans les années 1970, elle se verra même obligée de faire des tâches ménagères pour subvenir à ses besoins. Son répertoire personnel sera pillé allègrement et ses chansons reprises sans qu’on lui verse le moindre sou. Le cœur lourd, elle entendra les autres s’attribuer, toute honte bue, ses chansons à la télé ou à la radio. Aux débuts des années 1990, elle fait un timide retour sur scène et se produit même en France. On commence timidement à reconnaître son apport. Les nouvelles générations de chanteurs et d’artistes vont la sortir de l’oubli dans lequel les circonstances de la vie l’avaient plongée injustement. Elle va devenir une référence, une icône avec laquelle on tente d’arracher un duo. Les hommages venant du milieu associatif ou artistique vont se multiplier. C’est alors qu’elle va devenir Nna Cherifa, avec cette petite particule qui marque le respect, la déférence, que l’on doit aux anciens et aux grands.


L’Edith Piaf de la chanson kabyle


Tout au long de sa carrière, Nna Cherifa aura composé plus de 800 chansons, dont certaines ont été reprises par nombre  de chanteurs. Sans enfant, puisqu’elle ne s’est jamais mariée, sa vie toute entière elle l’aura consacrée à embellir son art et à enrichir sa culture.
Cette femme de culture que l’on surnomme l’Edith Piaf de la chanson kabyle aura surtout ouvert la voie aux femmes en devenant leur voix. Si, au plan musical, Nna Cherifa a surtout puisé dans la tradition, sa thématique s’est centrée sur les souffrances de sa vie qui sont souvent le lot de toutes les femmes. Elle est devenue un symbole, car elle aura surtout eu le courage et le mérite de chanter en bravant tous les tabous et les interdits. C’est peut-être une évidence aujourd’hui, mais de son temps, cela ne l’était pas. Elle a osé chanter quand la société déniait aux femmes le droit même de parler.

Réactions :

- Malika Domrane. Chanteuse kabyle
 
«Je suis vraiment sous le choc après la nouvelle du décès de Cherifa. L’année dernière, je suis venue à l’hommage de Cherif Kheddam et quelques jours plus tard, c’est Benhanafi qui est décédé. Cette année aussi, je suis venue assister à un autre hommage à Dda Cherif et j’entends la nouvelle de la disparition de Nna Cherifa. C’est vraiment affligeant. Nna Cherifa, je l’ai rencontrée à la radio durant les années 1980 dans l’émission «Nouva El Khalat» (l’émission des femmes) et je l’ai revue aussi à Paris, où on a chanté ensemble à Bercy. Je pense que Nna Cherifa est la seule chanteuse qui a la justesse vocale. Elle a gardé l’héritage de Nna Yamina, la doyenne des chanteuses kabyles. Elle n’a pas pris de cours de musique, mais  elle a une voix qui maîtrise parfaitement l’orchestre quand elle chante. J’ai toujours beaucoup de frissons quand j’écoute ses chansons, surtout ichewiqen. Le timbre de sa voix est vraiment unique. Elle est née avec le rythme et les chants traditionnels. Aujourd’hui, c’est tout un patrimoine qui est parti. Il faut dire aussi qu’elle avait vraiment souffert, elle avait fini ses jours dans la solitude. Après des années de carrière et d’un succès à un autre, elle est devenue démunie. C’est vraiment incroyable. Il faut que l’Etat prenne en charge sérieusement l’artiste. Je ne suis pas d’accord avec cette histoire des hommages et ensuite on laisse l’artiste mourir dans le dénuement. L’exemple de Nna Cherifa  doit interpeller l’Etat, car de son vivant, elle avait brillé comme un diamant, mais elle est partie dans l’obscurité, seule dans sa solitude. Et pourtant, elle a donné beaucoup de bonheur à ses fans.»    

 

- El Djida Tamechtouht. Chanteuse

 «Elle est partie, aujourd’hui, après des décennies de chant. Cherifa a donné toute sa vie à la culture. On aurait aimé parler d’elle quand elle était parmi nous. Sa vie, elle l’a racontée dans ses chansons. Chaque texte résume les conditions difficiles traversées par cette dame de fer de la chanson kabyle. Elle avait commencé à la radio, dans  la chorale féminine, durant les années 1940, avec le concours de Nna Yamina. Depuis, elle avait fait un chemin qui l’a fait connaître, notamment avec ses belles chansons reprises partout en Kabylie. Elle a beaucoup donné à la culture kabyle, en particulier et algérienne en général. Sa disparition nous laisse un vide immense, surtout quand on sait qu’elle a passé ses derniers jours dans l’oubli. On doit penser à l’artiste quand il est vivant. Il faut savoir que ses chansons resteront gravées dans nos mémoires, car elles sont d’une  richesse inépuisable.»
                                                                                          
 

- Medjahed Hamid. Auteur-compositeur-interprète

« Nna Cherifa laisse un grand trésor. C’est une pionnière  avec Lla Yamina du chant kabyle. Elle a un répertoire riche et de grande qualité. Elle a une voix dotée de tous les modes. Un don de Dieu ! Beaucoup de chanteuses l’envient, car n’ayant pas ses capacités. Nna Cherifa était une excellente interprète, une professionnelle. Bien qu’elle n’avait jamais fréquenté une école de musique,  elle était exceptionnelle et unique. Elle avait une présence sur scène. Elles était respectée par les musiciens. C’est l’équivalent féminin des Hasnaoui, Cherif Kheddam. Elle avait de la classe  Elle avait participé à la libération de la femme kabyle. Ce n’est pas facile, vu les risques qu’elle avait pris. Elle était timide, intelligente, elle n’était pas dupe. Elle savait répondre quand il fallait. Une femme courageuse. Un parcours d’une combattante. Son dernier concert filmé fut avec moi à l’ENTV. Un hommage aux voix féminines. Celle de Cherifa en présence de Salima Laâbidi, Chabha, Saleha Mezour. Un concert capté à l’hôtel Djazaïr. Cherifa laisse un répertoire grandiose. Ses chansons ont été reprises par Idir ou encore Hassiba Amrouche. Il n’y aura pas une autre Cherifa.»

 

- Nasreddine Baghdadi. Musicologue

«Nna Cherifa avait appris dans le tas. Le chant, la musique et le théâtre. Elle est célèbre de par le titre Bqa ala khir ayaqvou  (Adieu Akbou). C’est l’une des plus grande chanteuse d’expression kabyle. Une pionnière. Elle avait rejoint la radio en 1946 au sein d’un orchestre féminin en évoluant avec un bendir. Elle a une voix puissante. Par opposition à d’autres voix étouffées de la musique kabyle. Elle était très dynamique et active. Elle laisse plus de 200 chansons. Une discographie très riche et précieuse. J’ai eu l’occasion  de travailler avec elle en mai 2001. Cette même année,Cherifa avait donné deux concerts aux Etats-Unis aux côtés de Naïma Ababsa et Zakia Kara Terki.»

 

Propos recueillis par Hafid Azzouzi et K. Smaïl  / El Watan

Best of, Chansons à succès de (Nna) Cherifa , chants berbères
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6 juin 2007 3 06 /06 /juin /2007 16:58

Cherif Kheddam 1927-2012 (Črif Xeddam) né à imsouhel, dcd à Paris,  éditions Pathé

Ads eddounnits (1959)

Aachen ezmen

Loghna agui

Ayathren (1959)

Arruh inaathaben (1960)

Menagh

Atselimagh fellawen (1961)

Achou Kyoughane

Nadia

Asbah el khir (1961)

Anef llemouadji

N roh dhi l ryad

Avgayeth-Telha (1960)

Dhi laamer (1960)

Sligh iyema

Aouhdark el kas (1960)

Djurdjura

Thekkasdhiyi aoual

Awine irohane

Erraoud adh ouadhou
 

Eslam Fezman

Thirga oufenane

Afelhob etsvaadagh

Ezzine wel fen(1960)

Tsin i Hadjen

Ach oussanik

Gar sin i vardan dar e mouklar reve thoudhrin

Tsarugh

Anwa idelkhyar

Khezriyid

Yellis ammi (1959)

Atsghanigh themerthiw

Lemer D tsughal

Ya dja da a khelaf

A thulawin

Ladjrah mazal yahia

Zwi Imanik

A lehvav

Lekhyalim (1960)

Zrigh lkhir

A me rezg

Lahjab t'harith

en duo : Nouara : Athin Yuren

L'Dzayer Inchallah Ats'Hlodh
 

Documentaire biographique sur Cherif Kheddam (ENTV, 1992)

 

 

L’immense chanteur compositeur kabyle Cherif Kheddam est décédé le 23 Janvier 2012 , à Paris où il était hospitalisé. Il était âgé de 84 ans. Né en 1927 à Taddert Boumessaoud (Aïn-El-Hammam), Cherif Kheddam, dont la famille est d’origine maraboutique, est envoyé par son père en 1936 pour poursuivre une formation d’imam à la zaouïa Boudjellil, dans la région de Tazmalt. Il en sort le cursus coranique accompli en 1942 et gagne Alger où il est recruté dans une fonderie à Oued Smar qu’il quittera quelques années plus tard pour cause de différend syndical avec le patron. En 1947, il traverse la Méditerranée. Etabli dans la région parisienne, il travaille dans une fonderie puis dans une entreprise de peinture. Attiré par la musique, Chérif Kheddam prend, après son travail d’ouvrier, des cours du soir de solfège et de chant. Ceci fait de lui l’un des rares compositeurs traditionnels à savoir écrire et lire la musique. Ses premières chansons sont diffusées dans les circuits de l’émigration. Comme tous les chanteurs de l’époque, il fréquente les cafés et les fêtes où se diffusaient ses chansons. Bientôt, l’une de ses premières chansons, Yellis n’tumert, est enregistrée et diffusée à la radio. C’est le début d’une carrière singulière qui culminera par la signature d’un contrat avec Pathé Marconi en 1956. La qualité symphonique de ses compositions leur vaudra d’être jouées à plusieurs reprises par l’orchestre de l’ORTF sous la direction de Jean Duvivier. Il enchaîne alors ce qu’il est convenu d’appeler aujourd’hui les «tubes». Lorsqu’il rentre au pays en 1963, il a déjà un répertoire. Nadia, son titre culte, est récurrent sur les ondes depuis 1958. A la Radio Chaîne II, en plus de son travail créatif, il invente et anime une émission pour les jeunes talents, «Ighennayen Uzekka», qui a fait connaître les artistes kabyles les plus importants d’aujourd’hui, de Aït Menguellet à Idir en passant par Malika Domrane, Ferhat et bien sûr Nouara. En 1995, il retourne en France pour des raisons médicales. En 2005, il se produit au Zénith de Paris et à la Coupole à Alger pour fêter ses cinquante ans de chansons. Il avait alors 78 ans. Créateur inlassable, passeur, découvreur de talents, Cherif Kheddam demeure une source, un repère. Il n’est pas un chanteur qui ne doive quelque chose à l’ancien ouvrier spécialisé. il décéde en Mars 2012 à Paris.

A. Metref/ le soir d'Algérie

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6 juin 2007 3 06 /06 /juin /2007 16:42
Tijdiyi
M liyid lemhiba
D elxetn-ik a mmi
Zhu a mmi
Sahmu Tbel
izlane at Mansour
Yelis Lakvayel
   
Best of, Chansons à succès, groupe Akfadou

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